Deux petites cartes réalisées sur le même mode, sans vouloir offusquer leur destinataire...

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Qui aura la fève ?

Après bien des hésitations, j'ai choisi celle-ci !

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Recette

Ingrédients

.75g de poudre d'amande fine

.25g de poudre de noisette

.80g de sucre

.100g de beurre fondu

.1 œuf entier

.1 c à soupe d'eau de fleur d'oranger (pas obligatoire)

.2 pâtes feuilletées

.1 jaune d'œuf 

Préparation

1. Dans un saladier, mélanger les poudres d’amande et de noisette. Ajouter le sucre. Mélanger à nouveau. Ajouter l'oeuf puis le beurre fondu. Réserver.

2. Étaler la pâte feuilletée et lui donner une forme ronde. Répartir la préparation aux amandes au centre d'une disque. Autour de la garniture, passer un peu d'eau à l'aide d'un pinceau.

3. Disposer le second disque de pâte. Souder le bord avec une légère pression du doigt et chiqueter* à l'aide d'un couteau ou d'une fourchette.

4. Créer un décor sur le dessus à la pointe du couteau et ne pas oublier de percer le centre de la galette (j'ai placé une petite cheminée en bristol).

5. Dorer la galette avec le jaune d’œuf battu avec un peu d'eau.

6. Enfourner 5 minutes à 200C° puis 10 minutes à 170C° (moi, j'ai navigué à vue entre 160° et 180°).

7. Laisser refroidir (pour plus de brillance, étaler légèrement au pinceau du lait sur la galette).

* En pâtisserie: entailler les bords d'une pâte feuilletée pour lui permettre de gonfler, pendant la cuisson, sans que les couches de pâte feuilletée ne se désolidarisent.

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Qui aura la fève ?

   Si elle porte ce nom, c'est parce qu'on plaçait à l'origine une véritable fève, un haricot blanc ou un pois chiche dans le gâteau. Les premières fèves en porcelaine ne sont apparues qu'après le Second Empire, en 1875. Au départ, elles étaient fabriquées selon des modèles en nombre restreint, évoquant la chance (trèfle, fer à cheval), la richesse (voiture), l'amour (roi ou dame de cœur), le pouvoir (reine, couronne, château) ou la vertu (enfant Jésus).

   À partir des années 1960, les formes, les motifs, les couleurs et les matières se sont multipliés à tel point que tout est possible ! L'imagination est laissée libre et des collectionneurs rassemblent désormais des milliers de figurines différentes.

   Enfin, la fève n'était pas autrefois cachée dans la galette mais dans un sac où l'on mélangeait par exemple un haricot noir ou rouge au milieu de haricots blancs, autant au total que de personnes présentes. C'était, comme aujourd'hui, un enfant qui " tirait les rois " : il plongeait la main dans le sac et sortait un par un les haricots du sac en nommant les convives. Lorsqu'il sortait la fève noire ou rouge, on s'écriait " Vive le roi ! " et on fêtait tout le jour celui que le sort avait désigné. Le gâteau n'était partagé qu'ensuite.

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Une toute petite composition à poser sur l'assiette des invités...

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 Juste l'année à modifier...

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Une boule... dans une boule

Une table blanche comme la neige

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Une année nouvelle commence et je tiens, avant toute chose, à remercier tous ceux et toutes celles qui viennent se balader par ici, de temps à autre.

Merci pour votre fidélité et pour vos petits messages chaleureux et encourageants !

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