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Par Marrgot le 3 Avril 2016 à 17:35
Télécharger « emmaus44_calendrier_ventes_2016_saint-nazaire.pdf »
Ma récolte d'un jour d'avril
6 serviettes, deux napperons et un mouchoir de dentelle Tissgar, dans sa boite d'origine !
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Par Marrgot le 19 Mars 2016 à 18:31
Il fallait choisir entre la vente mercerie dans les locaux d'Emmaüs et les petites puces couturières, à Guérande...
Le choix s'est donc arrêté sur les Puces...
Une petite quinzaine d'exposants étaient là avec laine, boutons, tissus, patrons, revues, mercerie, etc...
Peu de choix (à mon goût) mais assez de temps pour faire une petite récolte !
Et, je me suis quand même dit que, le mois prochain, une visite s'imposait chez Emmaüs (Trignac)...
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Par Marrgot le 4 Août 2014 à 20:07
Qui n'a pas ses aiguilles Bohin, dans sa boite à couture ? Allez, cherchez bien, je suis sûre que vous allez en trouver !
Les miennes, les voici :
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Petit retour en arrière...
Atelier de production / youtube
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Bohin à travers les temps...
Usine du Moulin (première usine Bohin)
Sortie de l'usine - Fin XIXème
Vue de l'usine - Fin XIXème
Fabrication des aiguilles - XIXème
Bohin en réclames... de 1954 à 1970
Esquisse d'une publicité - 1954
1950
1970
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Par Marrgot le 3 Août 2014 à 21:58
Hier, je suis allée faire un petit saut aux Puces des couturières, à Missillac (Espace Thé o'fil)...
Voici mes petites trouvailles: un grand drap de lin blanc, une très longue bande de lin grossier qui devait servir à faire des torchons et de la dentelle.
Mais, revenons un peu à la dentelle dont la provenance ne m'a pas laissée indifférente...
Alors, je vous invite à la rencontre des deux créateurs de La Samaritaine...
"Actif, l’œil ardent, la bouche souriante, toujours vêtu simplement, expédiant choses et gens avec rapidité, la parole brève, tel est le très distingué et très affable créateur et propriétaire des Magasins de la Samaritaine, tirant leur nom de la fontaine qui occupait l’une des arches du Pont-Neuf, sous le règne du roi Henri IV.
Pour remédier en partie au manque d’eau qui excitait les plaintes du peuple, ce monarque avait en effet voulu rendre à la distribution de la ville le volume d’eau que recevaient au début du XVIIe siècle les maisons royales. Il avait fait étudier et approuvé, en 1606, le projet de la pompe de la Samaritaine : cette pompe devait élever l’eau de la Seine dans un réservoir placé au-dessus du Pont-Neuf, pour la distribuer au Louvre et aux Tuileries, la substituant ainsi à celle qu’on tirait de la fontaine de la Croix-de-Trahoir. Elevée en 1608 malgré l’opposition du prévôt et des échevins, la pompe fut détruite en 1813.
Né le 2 octobre 1839 à Saint-Martin-de-Ré, Ernest Cognacq perdit à l’âge de 12 ans son père orfèvre et greffier au tribunal de Commerce, et devint commis d’un magasin de nouveautés à La Rochelle, Rochefort et Bordeaux, avant de partir tenter sa chance à Paris à 15 ans. Mais Au Louvre, grand magasin parisien, il fut congédié pour insuffisance, passant ensuite quatre mois Aux Quatre Fils Aymon, puis regagnant la province. Retournant à Paris en 1856, il parvint à se faire embaucher à La Nouvelle Héloïse, où il rencontra sa future femme, Marie-Louise Jay, née en 1838. C’est en 1867 qu’il se mit à son propre compte avec le magasin Au petit Bénéfice.
Mais contraint à la fermeture, il s’installa dans la corbeille de la seconde arche du Pont-Neuf, à l’emplacement de l’ancienne pompe de la Samaritaine : il vécut ainsi en vendant des tissus sur des caisses d’andrinople rouge, à l’abri d’un grand parapluie, et reçut le sobriquet de Napoléon du déballage. Avec la divination des affaires qui le caractérisait, Ernest Cognacq, comprit que, pour être l’intermédiaire idéal entre le consommateur et le producteur, le commerçant devait réunir dans le commerce du détail tout ce qui constitue le besoin du consommateur à des prix tels que le gain de l’intermédiaire soit à peine visible, puisqu’il résultera seulement de l’ensemble des affaires traitées. Et le principe adopté et mis en pratique lui réussit.
Lorsque Ernest Cognacq créa la Samaritaine, quelques mois avant la guerre de 1870, il possédait 5 000 francs d’économies. Il s’installa dans une petite boutique louée à la semaine à raison de 45 francs par jour. En 1872, il épousa Marie-Louise Jay, alors première (vendeuse) au rayon confection du magasin Au Bon Marché, qui lui apportait, avec une vingtaine de mille francs, le concours de son activité et de sa remarquable intelligence ; leurs efforts réunis portèrent, en 1875, le montant des ventes de la Samaritaine à 800 000 francs. En 1898, il s’élevait à plus de 50 millions [il dépassera le milliard en 1925]."
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Par Marrgot le 4 Avril 2014 à 18:24
Retour dans le passé, au temps de la réalisation des trousseaux... A combien de femmes, ces revues ont-elles permis de trouver le modèle idéal pour broder parures de lit, nappes ou petits bavoirs ?
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"Et voici un document pratique et de qualité..."
Plein de modèles disponibles !
Cette revue date de 1965.
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Par Marrgot le 24 Juin 2013 à 19:16
Je crois avoir compter 116 cases !!!
Mireille, crois-tu que j'arriverai à toutes les remplir de broderies ?
Hum, hum, moi, je suis sûre que non !
Premier travail: trouver la thématique
Histoire à suivre ...
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Par Marrgot le 28 Avril 2013 à 19:10
Aujourd'hui, nous sommes allés au vide grenier de Bergon.
J'y ai trouvé de vieux tampons qui, une fois toilettés, vont servir de support à des tampons que j'ai déjà (empreintes en caoutchouc). Le tour en bois, lui, fera office de perchoir pour un oiseau que je suis en train de broder....
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