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    Ma récolte d'un jour d'avril

    6 serviettes, deux napperons et un mouchoir de dentelle Tissgar, dans sa boite d'origine !

    Emmaüs / Vente "Linge ancien"

     

    Emmaüs / Vente "Linge ancien"

     

    Emmaüs / Vente "Linge ancien"

     

     

    Emmaüs / Vente "Linge ancien"

     

    Emmaüs / Vente "Linge ancien"

     

     

    Emmaüs / Vente "Linge ancien"



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    Il fallait choisir entre la vente mercerie dans les locaux d'Emmaüs et les petites puces couturières, à Guérande... 

     

    Le choix s'est donc arrêté sur les Puces... 

     

    Une petite quinzaine d'exposants étaient là avec laine, boutons, tissus, patrons, revues, mercerie, etc...

    ll fallait choisir...

     

    ll fallait choisir...

     

    ll fallait choisir...

     

    ll fallait choisir...

     

    ll fallait choisir...

     

     

     

    Peu de choix (à mon goût) mais assez de temps pour faire une petite récolte ! 

    ll fallait choisir...

     

     

    Et, je me suis quand même dit que, le mois prochain, une visite s'imposait chez Emmaüs (Trignac)...

     

    ll fallait bien choisir...

     

     

     

     

     

     

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    Qui n'a pas ses aiguilles Bohin, dans sa boite à couture ? Allez, cherchez bien, je suis sûre que vous allez en trouver !

    Les miennes, les voici :

    Aiguilles Bohin

    Aiguilles Bohin  Aiguilles Bohin

     Aiguilles Bohin

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    Petit retour en arrière...

    Bohin

    181 ans d'Histoire

    Atelier de production / youtube

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    Bohin à travers les temps...

    http://www.bohin.fr/iso_album/usine_du__moulin.jpg

    Usine du Moulin (première usine Bohin)

     

    http://www.bohin.fr/iso_album/sortie_personnel_usine__-_copie_1.jpg

    Sortie de l'usine - Fin XIXème

     

    http://www.bohin.fr/iso_album/usine_ancienne_vue_1.jpg

    Vue de l'usine - Fin XIXème

     

     

    http://www.bohin.fr/iso_album/fabrication_bohin_homme.jpg 

    Fabrication des aiguilles - XIXème

     

    Bohin en réclames... de 1954 à 1970

    Esquisse d'une publicité - 1954

     

    1950

     

     

     

    1970

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    Hier, je suis allée faire un petit saut aux Puces des couturières, à Missillac (Espace Thé o'fil)...

      Voici mes petites trouvailles: un grand drap de lin blanc, une très longue bande de lin grossier qui devait servir à faire des torchons et de la dentelle.

    Mon petit marché

     

    Mais, revenons un peu à la dentelle dont la provenance ne m'a pas laissée indifférente...

    Mon petit marché

    Mon petit marché

     

    Mon petit marché

    Mon petit marché

     

    Mon petit marché

     

    Alors, je vous invite à la rencontre des deux créateurs de La Samaritaine...

     

      "Actif, l’œil ardent, la bouche souriante, toujours vêtu simplement, expédiant choses et gens avec rapidité, la parole brève, tel est le très distingué et très affable créateur et propriétaire des Magasins de la Samaritaine, tirant leur nom de la fontaine qui occupait l’une des arches du Pont-Neuf, sous le règne du roi Henri IV.

      Pour remédier en partie au manque d’eau qui excitait les plaintes du peuple, ce monarque avait en effet voulu rendre à la distribution de la ville le volume d’eau que recevaient au début du XVIIe siècle les maisons royales. Il avait fait étudier et approuvé, en 1606, le projet de la pompe de la Samaritaine : cette pompe devait élever l’eau de la Seine dans un réservoir placé au-dessus du Pont-Neuf, pour la distribuer au Louvre et aux Tuileries, la substituant ainsi à celle qu’on tirait de la fontaine de la Croix-de-Trahoir. Elevée en 1608 malgré l’opposition du prévôt et des échevins, la pompe fut détruite en 1813.

      Né le 2 octobre 1839 à Saint-Martin-de-Ré, Ernest Cognacq perdit à l’âge de 12 ans son père orfèvre et greffier au tribunal de Commerce, et devint commis d’un magasin de nouveautés à La Rochelle, Rochefort et Bordeaux, avant de partir tenter sa chance à Paris à 15 ans. Mais Au Louvre, grand magasin parisien, il fut congédié pour insuffisance, passant ensuite quatre mois Aux Quatre Fils Aymon, puis regagnant la province. Retournant à Paris en 1856, il parvint à se faire embaucher à La Nouvelle Héloïse, où il rencontra sa future femme, Marie-Louise Jay, née en 1838. C’est en 1867 qu’il se mit à son propre compte avec le magasin Au petit Bénéfice.

      Mais contraint à la fermeture, il s’installa dans la corbeille de la seconde arche du Pont-Neuf, à l’emplacement de l’ancienne pompe de la Samaritaine : il vécut ainsi en vendant des tissus sur des caisses d’andrinople rouge, à l’abri d’un grand parapluie, et reçut le sobriquet de Napoléon du déballage. Avec la divination des affaires qui le caractérisait, Ernest Cognacq, comprit que, pour être l’intermédiaire idéal entre le consommateur et le producteur, le commerçant devait réunir dans le commerce du détail tout ce qui constitue le besoin du consommateur à des prix tels que le gain de l’intermédiaire soit à peine visible, puisqu’il résultera seulement de l’ensemble des affaires traitées. Et le principe adopté et mis en pratique lui réussit.

      Lorsque Ernest Cognacq créa la Samaritaine, quelques mois avant la guerre de 1870, il possédait 5 000 francs d’économies. Il s’installa dans une petite boutique louée à la semaine à raison de 45 francs par jour. En 1872, il épousa Marie-Louise Jay, alors première (vendeuse) au rayon confection du magasin Au Bon Marché, qui lui apportait, avec une vingtaine de mille francs, le concours de son activité et de sa remarquable intelligence ; leurs efforts réunis portèrent, en 1875, le montant des ventes de la Samaritaine à 800 000 francs. En 1898, il s’élevait à plus de 50 millions [il dépassera le milliard en 1925]."

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    Retour dans le passé, au temps de la réalisation des trousseaux... A combien de femmes, ces revues ont-elles permis de trouver le modèle idéal pour broder parures de lit, nappes ou petits bavoirs ?

    Un air d'antan

    Un air d'antan

     

    Un air d'antan

     

    Un air d'antan

    Un air d'antan

    Un air d'antan

    Un air d'antan

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    "Et voici un document pratique et de qualité..."

    Un air d'antan

     

    Plein de modèles disponibles !

    Un air d'antan

    Un air d'antan

    Cette revue date de 1965.

    Un air d'antan

     

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  • Elle se reconnaîtra... MERCI pour ce joli cadeau !

    Cadeau

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    Cadeau Cadeau

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  • Merci "le Bon coin" !

     

    Merci "le Bon coin" !

    Je crois avoir compter 116 cases !!!

     

    Mireille, crois-tu que j'arriverai à toutes les remplir de broderies ?

    Hum, hum, moi, je suis sûre que non !

     

    Premier travail: trouver la thématique

    Histoire à suivre ...

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  • Aujourd'hui, nous sommes allés au vide grenier de Bergon.

     

      J'y ai trouvé de vieux tampons qui, une fois toilettés, vont servir de support à des tampons que j'ai déjà (empreintes en caoutchouc). Le tour en bois, lui, fera office de perchoir pour un oiseau que je suis en train de broder....

     

    Vide grenier

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