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Bonne année 2015 !
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Je vous la souhaite remplie d'une bonne santé, ponctuée de bonheur, de douceur et de bonne humeur !
Je vous souhaite également
de vous enflammer pour des idées !
d'avoir de vrais échanges pour refaire le monde !
de partager sincèrement !
de mordre la vie à pleines dents !
et, bien sûr, d'être pleins de créativité !
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6 commentaires -
Tout le monde s'active dans les maisons, la nouvelle année est à notre porte...
Alors, juste avant de la laisser entrer,
j'ai sorti de mon armoire ce joli pot,
précieusement gardé pour l'occasion...
2 commentaires -
De jour comme de nuit, on y flâne, on s'arrête, on admire...
Ancien grenier à grains médiéval
Ce bâtiment, également appelé Weinhof, appartenait aux sœurs du couvent d'Unterlinden. Il couvrait 1 000 m² environ à sa construction et permettait de couvrir les besoins des habitants en céréales. Il devint la propriété de la ville en 1602 et sert alors d'entrepôt à des lances à incendie.
Chez Hansi, 23 rue des Marchands
La maison des Têtes, 11 rue des Têtes
Construite en 1609, elle est sans doute la plus célèbre et la plus remarquable de Colmar.
Depuis la fin du XIXe siècle, la maison des Têtes est propriété de la Bourse aux Vins. Le foisonnement du décor de la façade est une oeuvre de sculpteur plutôt que d’architecte de la Renaissance.Les montants et les meneaux des fenêtres ainsi que les panneaux de l’oriel central sont décorés de 106 têtes grimaçantes, en grande partie restaurées, qui ont donné son nom à la maison dès le XVIIIe siècle, et en 1888, à l’ensemble de la rue.
Le pignon à volutes et ailerons a été couronné, en 1902, par une statue d’un tonnelier, œuvre d’Auguste Bartholdi. La maison est classée parmi les Monuments historiques depuis 1898.
La maison Pfister, 11 rue des Marchands
Joyau du patrimoine colmarien, elle doit son nom à la famille qui en était propriétaire de 1842 à 1892. Elle a été édifiée en 1537 pour un marchand originaire de Besançon. L’édifice à deux étages en grès de Rouffach, orné d’un oriel d’angle, d’une balustrade en bois et d’une tour octogonale, présente une architecture alliant des éléments médiévaux
et de la Renaissance.Le décor peint, œuvre probable de Christian Vacksterffer, mêle des empereurs germaniques du XVIe siècle,
les Pères de l’Eglise, des scènes bibliques et des figures allégoriques. A l’instar de la maison Kammerzell de Strasbourg, la maison Pfister, restaurée en 1971, traduit l’humanisme de la bourgeoisie marchande de Colmar au XVIe siècle.
La maison est classée parmi les Monuments historiques depuis 1927.Le Corps de garde, 17 place de la Cathédrale
Ancienne chapelle Saint-Jacques mentionnée dès 1286, elle se situait jadis dans le cimetière aménagé au sud de la collégiale. L’édifice fut entièrement transformé en 1575 en bâtiment civil. Au-dessus de l’ossuaire voûté, on installa le Corps de Garde au rez-de-chaussée et des salles à l’étage. La loggia exécutée de 1577 à 1582, chef d’œuvre de l’architecture. Le Corps de Garde est classé parmi les Monuments historiques depuis 1958.
La collégiale Saint-Martin, place de la CathédraleQuand on la voit de l’extérieur, sa sobriété peut surprendre. L’église Saint-Martin n’affiche pas l’apparat de certaines cathédrales ou collégiales voisines. A l’intérieur, pourtant, la magie opère. Peu d’églises offrent une telle harmonie interne. 130 ans ont été nécessaires à sa construction, de 1235 à 1365.
Le Koïfhus
Construit en 1480, le Koïfhus était le centre économique du vieux Colmar, lieu de transit et de dépôt de toutes les marchandises importées. Les dernières interventions réalisées de 1999 à 2002 ont permis, entre autres, la remise en place de la balustrade en grès déposée depuis 1976. L’édifice est classé parmi les Monuments historiques depuis 1974.
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Bien sûr, en Alsace, il y aurait eu plus de végétaux et de bois...
Mais, bravo à ces habitants pour la déco naturelle et légère de leurs fenêtres !
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Idée de calendrier trouvée sur le Net
Un joli message pour chaque mois de l'année à venir...
Merci à Douce parenthèse pour le cadeau
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Mais, qu'y a t-il donc dans le panier ?
Une jacinthe odorante, de quoi éclairer l'hiver, un calendrier pour égrener les jours à venir, des sablés de Noël...
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Le Koïfhus
Le Koïfhus est le plus ancien bâtiment public local. Il eut dès sa création une double fonction. Le rez-de-chaussée servait d’entrepôts et de lieu de taxation des marchandises importées et exportées. L’étage, quant à lui, abritait les réunions des députés de la Décapole, fédération des dix villes impériales alsaciennes, qui avait été créée en 1534. Le Magistrat s’y réunissait également. La Révolution abolit les privilèges commerciaux et le bâtiment fut consacré à d’autres usages.
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En Alsace, les lieux de perdition de manquent pas...
Résistera ou résistera pas ?
Dans les deux cas, les winstubs, les vitrines joliment décorées, les
étals de marchés nous offrent toutes les spécialités régionales et elles ne manquent pas...
Mannele
Bredalas
Choucroute
Vin blanc chaud
Marché couvert
Bretzel
Kouglof
Flammekueche
Baeckeoffe
Pain d'épice
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